Le réseau Guy Hoquet mise sur l’IA pour sa formation

Fort de ses 520 agences, Guy Hoquet l’Immobilier se classe aujourd’hui sur la troisième marche du podium des réseaux de franchise immobilière en France. Les clés de son succès ? Depuis 4 ans, le réseau dirigé par Stéphane Fritz a fait le choix d’intégrer la formation de ses franchisés et de leurs collaborateurs au cœur du modèle économique de la franchise.

Comment cela se concrétise-t-il ? L’ensemble des membres du réseau bénéficie d’une offre de formation illimitée et sans coût additionnel, en présentiel comme en distanciel, grâce à une plateforme d’e-learning développée en interne.

À noter que c’est le seul réseau de franchise immobilière qui propose à ce jour un tel modèle. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les résultats sont plus que concluants : le turnover a depuis été divisé par deux et la performance démultipliée, avec pas moins de 26 % de chiffre d’affaires supplémentaire pour un collaborateur régulièrement formé par le réseau.

Alors que l’intelligence artificielle est sur toutes les lèvres depuis plusieurs mois, le réseau Guy Hoquet l’Immobilier a décidé, il y a tout juste un an, d’embarquer cette technologie innovante et de l’intégrer dans son nouveau projet de formation.

Pour le réseau de franchise, deux défis de taille se sont en effet présentés : la création de centaines de modules de formation et la nécessité d’une réactivité maximale pour faire face aux changements constants qui impactent le secteur immobilier, tels que la fiscalité, la réglementation ou encore la législation.

Le concept de ce dispositif ? Une nouvelle méthode pédagogique de transmission du savoir à destination des professionnels, avec une segmentation des contenus par gestes, au potentiel décuplé par l’utilisation de l’intelligence artificielle.

 « Le monde change : nous nous en emparons pour nous améliorer encore sur la formation, qui constitue le pilier majeur du projet de l’entreprise. Nous avons cartographié la totalité de l’expérience client et du parcours collaborateur pour identifier chaque interaction et chaque point de contact. Chaque itération est devenue ce que nous avons appelé un "geste" et chaque "geste" donne lieu à un module de formation », avait ainsi expliqué Stéphane Fritz, président de Guy Hoquet l’Immobilier, lors d’une conférence de presse.

Afin d’humaniser ces modules de formation et de répondre à une problématique de volume et de coût, le réseau a également initié avec l’agence Brainsonic un travail de création d’avatars, grâce à l’intelligence artificielle.

À travers ces avatars, les formateurs donnent ainsi vie à des scripts écrits spécifiquement pour que les modules de formation permettent à l’apprenant de découvrir ou de revoir un geste en 2 ou 3 minutes maximum.

Soucieux d’accompagner au mieux ses collaborateurs dans un secteur en perpétuelle évolution, le réseau Guy Hoquet l’Immobilier – toujours accompagné de l’agence Brainsonic – a décidé cette année de repousser encore plus loin les limites de la formation, avec une nouvelle innovation, basée cette fois sur l’IA conversationnelle. Le président du réseau l'a présentée en mars dernier, à l’occasion de Franchise Expo Paris.

Grâce à un moteur de recherche intelligent et interactif, les collaborateurs du réseau Guy Hoquet l’Immobilier peuvent désormais accéder en temps réel aux informations clés de leur métier, simplement en posant une question en langage naturel et en obtenant une réponse immédiate, issue du savoir-faire de Guy Hoquet l’Immobilier. Un véritable assistant pédagogique, pensé pour répondre aux besoins concrets du terrain, qui offre un apprentissage à la demande. Cette nouvelle approche remplace ainsi les longues recherches par une conversation fluide et dynamique.

« Grâce à l’IA, nous sommes en mesure d’offrir une formation ultra-ciblée et réactive, adaptée aux défis quotidiens du métier. Nous ne remplaçons pas la formation humaine, nous la rendons plus accessible, plus efficace et plus naturelle. L’IA conversationnelle est un véritable accélérateur de compétences », conclut Stéphane Fritz.