Contrairement à ce qui avait été proclamé voire souhaité par certains, les prix ne se sont pas effondrés en 2012 (+0,5% à Paris et +0,4% en proche banlieue).
Alors que les prix parisiens ont baissé de 2,6% depuis le plus haut de juillet 2011, les vendeurs continuent à anticiper une hausse modeste alors que les acheteurs attendent une baisse franche.