La nouvelle géographie immobilière, observée depuis début septembre, se confirme ce mois d'octobre. On retient un fort engouement pour le péri-urbain, au détriment des grands centres-villes.
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La nouvelle géographie immobilière, observée depuis début septembre, se confirme ce mois d'octobre. Persiste un fort engouement pour le péri-urbain, au détriment des grands centres-villes.
Le désamour pour les grandes villes conforté
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La nouvelle géographie immobilière se confirme ce mois-ci : au désamour pour les grandes villes répond de manière toujours plus marquée un intérêt accru pour les campagnes. Terminée la hiérarchie en matière de hausse tarifaire qui prévalait jusqu'en juillet 2020 avec Paris en haut de l'échelle, suivie des dix plus grandes agglomérations françaises et, en bas, les zones rurales.
Aujourd'hui, le classement s'est inversé. Depuis le début de l'année 2021, les zones rurales ont ainsi connu la plus forte progression au niveau national (+6,6%). Soit, plus du double des chiffres enregistrés par les dix plus grandes métropoles de l'Hexagone au cours de la même période. Et surtout... Loin devant ceux de la capitale (+0,1%).
La région parisienne résume à elle seule ce changement de paradigme. Plus les acheteurs potentiels s’éloignent de la ville centre, plus la hausse des prix se fait forte. En un an, Paris a ainsi perdu 1,2% tandis que la petite couronne en gagnait 2,7% et la grande couronne 5,2%.
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